Lundi 20 juin 1 20 /06 /Juin 17:49

  Depuis peu, mon ancien amour, ma grande Jenny, m'a recontacté. Elle est plus belle que jamais, avec son sourire coquin, ses éclats de rire explosifs... Bien sur à l'époque on avait un peu joué à se faire peur, pour s'exciter, pour se découvrir, pour chercher les fantasmes de l'autre. Maintenant il s'agit de flirt, tendresse,reconquête...

  Je suis allé chez elle, invité à un diner en tête à tête. Bougie, vin rouge capiteux, parfum épicé, elle a sorti le grand jeu. J'appréciais mais j'étais déja conquis, subjugué, anesthésié d'amour et de désir. Ma diablesse m'a caressé le cou, mordillé l'oreille..."-Tu m'aimes toujours?" Si je l'aime toujours? J'en ai la tête qui tourne tellement elle me fascine!

  "-Va dans ma chambre, je te rejoins. Si tu m'attends sagement, je serai ta maîtresse chérie... pour longtemps cette fois."

J'allais directement dans l'antre de ma faune, et je trouvais la petite lumière tamisée allumée, les draps de satin ouverts, et... les menottes, le martinet, et le gode-ceinture en évidence sur le lit! Elle n'avais rien oublié de nos ébats anciens! Moi je croyais à lépoque  qu'elle le faisait pour me faire plaisir, et se dévergonder. Mais elle n'avais rien oublié, et elle aimait ça! Si je l'attendais, si je restais sur ce lit, j'acceptais ce rôle et ces jeux comme un préliminaire à l'amour. Une façon de dire à ma "maitresse chérie" qu'elle pourrait désormais me fesser, avec sa main, avec le martinet, autant qu'elle voudrait. Et aussi qu'elle pourrait m'enculer chaque fois, selon son envie et son humeur du jour!

Elle est entrée dans la chambre, en tenue transparente. Elle m'a regardé fixement dans les yeux, avec son sourire, son si beau sourire; j'ai bien du rosir mais ça ne se voyait pas avec l'éclairage. "Jenny..." Elle a lu l'acceptation dans mon regard et son sourire s'est épanoui encore plus. "Mon chéri..." Elle est passé derrière moi et m'a à peine effleuré en me passant les menottes. Elle sait que cela me rend nerveux. Elle m'a caressé, puis fessé, puis recaressé, puis refessé plus fort, jusqu'à me faire crier que je l'aime toujours autant, toujours aussi fort. Un festival de martinet s'abbatit sur mes fesses meutries et très rouges, comme le bouquet d'un feu d'artifice. Puis, vétue du gode ceinture, de ces godes dont une partie pénètre son sexe, et l'autre côté mon cul ouvert par ses doigts agiles, doux et magiques, elle m'a pris comme une femelle. J'étais bouleversé et excité au maximum. Elle me limait à fond et continuais avec frénésie car elle s'approchait de l'orgasme en se pénétrant autant qu'elle me pénétrait. A un moment elle me chevaucha comme si sa vie en dépendait, elle cria. Puis très vite elle me détacha. "-Viens sur moi, vite, prends-moi tout de suite, mon amour..." Et j'explosais en elle plus intensément que jamais.

Je me coulais contre elle, tous les deux essouflés et assouvis. "-Mon chéri, tu m'aimes comme ça?- Je t'aimes... comme tu aimes." Elle me regardait et sourit. "-Tu auras peut-être une autre fessée demain, ou même tout à l'heure." Nous rimes. Elle me caressait légèrement entre les jambes. Je recommençais à bander! 

Par rougir - Communauté : la fessée pour le plaisir
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